La Constitution Sageocratique

Une fondation vivante, évolutive, vibratoire

Un pont entre le monde ancien et celui qui vient

La Constitution de la Sageocratie n’est pas un document juridique figé.
C’est un texte vivant, un accord de fondation entre des êtres en reliance, désireux de faire émerger une nouvelle manière d’habiter le monde ensemble.

Elle ne prétend pas tout régler.
Elle pose un cadre vibratoire, souple et éthique, pour garantir l’intégrité du projet tout en laissant place à l’évolution collective.

Quand la forme sert la lumière

La Sageocratie ne repose pas sur des lois imposées, mais sur des accords conscients.
Ses textes fondateurs ne sont pas des carcans juridiques, mais des codes vivants — adaptables, révisables, évolutifs.

Ils servent à maintenir la cohérence vibratoire du projet, protéger le champ collectif, et assurer l’ancrage nécessaire à la reconnaissance dans le monde visible.

Double fondation : ancrage & reliance

La Constitution repose sur deux piliers :

– Une structure juridique claire : l’association Sageocracy, fondée en Suisse, portant les outils, plateformes et moyens concrets.
– Une source vibratoire libre et intemporelle : la Terre Libre de Sageocracy, région non revendiquée, support symbolique et vibratoire de la souveraineté intérieure.

L’ensemble garde un ancrage dans le monde tout en restant fidèle à l’élan de conscience originel.

Principes fondateurs

1. Toute société est vivante. Tout est relié, tout est conscience. L’humain ne domine pas la nature : il y coopère en frère d’évolution.
2. Souveraineté intérieure. Nul ne peut décider pour un autre. Chacun est guide par sa propre sagesse, en lien avec son âme.
3. Contribution au lieu de labeur. Le travail n’est plus une obligation, mais une offrande vibratoire.
4. Création de la reconnaissance. Les Crédits de Contribution Évolutifs (CCE) remplacent l’argent. Ils ne s’accumulent pas : ils circulent, témoignent et reconnaissent l’élan du cœur.
5. Transmission vibratoire des lieux. Les biens ne sont pas possédés, mais confiés temporairement, dans une alliance avec l’esprit du lieu.
6. Inspirations systémiques intégrées. Les Êtres Hautement Évolués, les systèmes de transformation cellulaire ou vibratoire peuvent éclairer sans diriger.
7. Aucune délégation verticale. Les cercles de syntonie prennent les décisions par syntonie, non par pouvoir.
8. Justice vibratoire. Pas de punition, mais rétablissement. Pas de dette, mais régénération.
9. Accès libre à l’essentiel : habitat, nourriture, soins, savoirs, selon les besoins.
10. Éducation intégrale. Chaque être est reçu comme unique. Pas de programme figé. Pas de contrainte.
11. Technologie consciente. Elle n’assiste pas : elle élève.
12. Élévation collective continue. Rien n’est figé. La société s’adapte au champ vivant.
13. Pluralité incarnée. Chaque territoire incarne la Sageocratie à sa manière, selon sa culture, sa vibration.
14. Phase de transition. Des ponts peuvent exister avec l’ancien monde, tant que nécessaire.
15. Rayonnement non conquérant. La Sageocratie n’a rien à imposer. Elle rayonne. Elle inspire.

Cadre d’organisation

La Sageocratie repose sur une gouvernance vibratoire.
Aucune élection, aucun parti. Elle émerge quand des êtres vivent ensemble à un seuil de conscience partagé.

Les cercles de syntonie sont les lieux d’émergence des décisions.
La syntonie fonde la légitimité.

Le cycle évolutif permet l’émergence de rôles, mais jamais d’autorité fixée.

Textes complémentaires

Charte éthique : déclaration vibratoire du respect de la nature et des règnes visibles/invisibles.
Statuts de l’association : socle minimal dans le visible, garantissant transparence et protection.
Statuts symboliques de l’Entité-Mère : ancrée sur la Terre Marie (Byrd), Présence inspiratrice non incarnée juridiquement.
Déclaration dimensionnelle : serment vibratoire, silence ou partage.

Mise en œuvre

Validation vibratoire : un territoire entre en phase Sageocratique lorsqu’une majorité vibrante et incontestable de ses habitants est en syntonie.
Territoires pionniers : des lieux peuvent incarner la Sageocratie dès aujourd’hui. Sur des principes vivants.
Phase transitoire : des structures (assos, entreprises, plateformes…) peuvent coexister durant une période de bascule.

Conclusion

Ce texte n’est pas un manifeste.
Il est un souffle structurant.

Il appelle à une souveraineté douce, une gouvernance alignée, une co-émergence vibratoire du Vivant.

Il peut être relu, modifié, adapté… mais jamais instrumentalisé.

La Sageocratie commence là où l’Être se souvient qu’il est la loi, la voie, et le monde en devenir.